Dans ma bibliothèque, on tombe sur quelques raretés, dont ce petit bijou, une traduction de « Bill Russell of the Boston Celtics » de Al Hischberg.
C’est la maison d’édition « Nouveaux horizons » qui publie ce roman en 1965, retraçant la jeunesse de la légende Bill Russell en Californie, ses exploits en athlétisme, sa découverte de la balle orange qui le mena chez les Celtics de Red Auerbach, jusqu’aux confrontations avec Wilt Chamberlain, l’autre pivot dominant de l’époque.
Voici in extenso la 4ème de couv’:
« Comment mettre en échec Bill Russell? »
C’était la question que se posaient au basket-ball ses adversaires, quand Bill, à la tête de ses camarades, défendait les couleurs de son école d’Oakland, en Californie.
Ils se posèrent la même question lorsque Bill, par deux fois, aux championnats nationaux, mena à la victoire l’université de San Francisco.
Ils se posent encore la même question aujourd’hui où Bill, vedette de la grande équipe de professionnels, les Bostons Celtics, se retrouve avec eux chaque année vainqueur du tournoi national.
Un roi du basket-ball retrace la prodigieuse histoire du géant californien, passant en revue les qualités qui ont fait de lui ce qu’il est: sa persévérance, son esprit d’équipe et son sens aigu de la compétition. Le récit de nombre de ses triomphes de joueur de basket-ball rend la lecture de ce livre passionnante.
Un roi du basket-ball donne au lecteur africain l’occasion de renouer avec ce grand sportif qui s’est rendu en Afrique à maintes reprises et a prouvé la confiance qu’il avait en l’avenir de ce continent en acquérant des propriétés au Libéria avec l’argent de ses économies.
En bonus, un reportage sur la carrière de Bill Russell: